Arrivée en pleine nuit...

Deux silouhettes s'élevaient des escaliers menant au premier étages, et donc par conséquence aux chambres des étudiants... La première, celle en tête, était celle de Siegfried; la seconde était celle de Mélina, qu'il conduisait jusqu'à sa chambre sur sa demande... Ils étaient donc passés devant le premier couloir, le second, puis enfin le troisième ou se trouvait certainement la chambre de la demoiselle puisqu'elle venait tout juste d'arriver ici... Siegfried se mit donc à chercher les noms inscrits sur les plaques à travers le peu de lumière arrivant par la fenêtre au fond du couloir, avant de finalement trouver celle portant le nom de Mélina...
Il s'arréta donc devant cette dernière, puis souria à la demoiselle...

Vous voila arrivée à bon port demoiselle, je vous souhaite un bon sommeil...

On entendait le roulement des roulettes de la valise sur le sol, provoquant un bruit sourd qui s'écrasait sur les murs sans rebondir ni faire d'écho. Mélina suivait Siegfried, en regardant les différents noms et prénoms inscrits sur les portes. Ils arrivèrent dans le troisième couloir et Mélina, qui était en train de regarder autre part, se prit Siegfried, non pas violement non, car elle marchait lentement. Il y eut un moment avant qu'elle ne se pousse.

"Excuse moi, étourdie surement." dit elle avec un petit sourire, aucune gêne venant de sa part.

Elle regarda alors l'écriteau, puis tourna la poignet, après l'avoir dévérouillé, et la porte s'ouvrit. Elle posa sa valise à l'entrée, puis alluma les lumières et enfin, jetta ses clefs sur un petit meuble à l'entrée. Elle se retourna puis ajouta

"Merci beaucoup de m'avoir amenée jusqu'à ma chambre. Ne veux tu pas rentré un moment?" lui proposa t'elle en tendant sa main en signe de bienvenue.

Le jeune irlandais avait donc finalement finit sa bonne action de la journée, ou plutôt de la soirée, puisqu'il était aux abords de 23 heures passées... Il ne fit pas attention lorsque Mélina lui rentra légèrement rentrer dedans, puisqu'elle semblait vraiment fatiguée... Il l'observa donc ouvrir la porte de sa chambre, avant d'y poser sa valise. Il s'était mit en tête de la laisser trouver maintenant le repos qu'elle méritait, lorsqu'elle lui proposa alors de rentrer un moment dans la chambre. Siegfried hésita alors sur la déscision à prendre; d'un coté, il aurait voulu parler un peu avec elle pour faire un peu plus ample connaissance; mais de l'autre, il voulait la laisser obtenir le sommeil qu'elle devrait prendre... Il fit donc un choix entre le limite des deux...
Et donna sa réponde avec son habituel sourire...

Je m'en voudrais de déranger...
Donc seulement pour vérifier que vous vous endormez bien demoiselle...

Après s'être avancé dans la pièce et constaté qu'il n'y avait personne, elle revint vers l'entrée. Apparemment, son colocataire n'était pas là. C'était pas plus mal, comme ça elle ne le reveillait pas et n'avait pas à subir une mauvaise humeur. Bref, elle était déjà assez fatiguée comme ça. Elle lança un sourire à Siegfried, puis ajouta après sa réponse

"Tu ne me dérange pas. Et puis...tutoie moi s'il te plait. Je préfère."

Elle prit sa valise pour la mettre dans une chambre qui était apparemment vide, puis ajouta assez fortement pour que Siegfried entende

"Entre et ferme la porte s'il te plait."

Elle passa dans la pièce principale pour ouvrir doucement l'autre chambre. Celle là n'était pas vide. Elle ne s'était donc pas trompée de chambre. Elle revint dans la pièce principale puis s'arrêta pour regarder Siegfried.

"Je t'en prie, mais toi à l'aise. Si tu veux à boire, ou t'assoir..." dit elle en indiquant les chaises autour d'une table.

Elle retourna dans sa chambre où elle mit sa valise, sur son lit. Elle l'ouvrit puis commença à mettre ses affaires dans la penderie, faisant des allers retours.

Siegfried soupira légèrement suite à l'invitation de Mélina à la tutoyer, il semblait donc qu'elle se lassait déja de la politesse du jeune homme, ou peut être étaitce du à la fatigue, il ne chercha pas à comprendre en tout cas...

Comme il v... Comme il te plaira Mélina.

Le jeune irlandais entra donc dans la chambre, fermant la porte derrière lui en essayant de faire le moins de bruit possible, au cas où les autres étudiants dormiraient... Il posa délicatement son violon à coté de la porte d'entrée, le placant de manière à ce qu'il ne puise pas être renversé par mégarde. Il entendit ensuite Mélina lui proposer de prendre ses aises, avant que cette dernière ne parte pour aller ranger ses affaires... Siegfried n'avait pas vraiment faim ou soif, et il doutait que la jeune demoiselle ait du thé en provenance d'irlande, peut être de l'eau de source...
Il n'en fit rien, et prit la direction de la chambre de Mélina, dans le but de lui fournir son aide...

Mélina, aurait-tu besoin d'aide ?

Mélina faisait toujours ses imperpétuels allers/retours vers la penderie. Puis, elle resta un moment devant sa valise, contemplant un porte photo vide, assez large pour y mettre un couple, mais qui n'avait pas lieu d'être. Elle resta un moment figée sur ce cadre photo, passant son doigt sur le cadre, elle imaginait ses parents, qui l'avait lachement abandonné. Elle ne savait pas grand chose sur eux, voire carément rien. Elle aurait préféré savoir tout, bien que la vérité parfois, face plus de mal que de bien. Mais après, peut être qu'elle serait soulagé d'entendre la vérité. Elle se dirigea vers sa table de nuit, où elle posa le petit cadre sur celle ci. Elle s'assit alors sur le lit, un soupire s'échappa alors. Elle semblait vraiment crevée, mais ses yeux se fermaient pas. Elle resta un moment comme ça avant de faire tomber le cadre en avant dans un petit bruit aigüe. Juste au moment où Seigfried entra dans la chambre.

Elle se leva donc puis ajouta rapidement

"Non non...je ne pense pas, merci quand même Sei'."

Elle retourna devant sa valise, puis, elle se retourna vers celui ci, quelques affaires pliés en main.

"Tu n'es pas contre un surnom?" lui demanda t'elle simplement avant de s'avancer vers la penderie pour ranger ses affaires dans une case en hauteur, où elle du s'étirer de tout son long pour l'atteindre.

Lorsqu'il rentra dans la chambre, Mélina était assise sur son lit; et un petit bruit de verre brisé se fit entendre lors de son intervention. Elle sembla par contre ne pas l'entendre, et se remit à ranger ses affaires dans on placard... En se rapprochant un peu plus du lit, le jeune homme vit un ce qui semblait être un cadre désormais brisé, il se promit alors d'en offrir un nouveau à Mélina pour se faire pardonner, ou un autre cadeau pour lui faire oublier cela...
Il l'entendit alors l'appeller Sei, un surnom qu'elle sembla alors vouloir lui donner, ce qui ne le dérangeait pas. Il le vit alors prendre des affaires, qu'elle essaya de placer sur les plus hautes étagères, l'obligeant ainsi à s'étirer de tout son long, et encore que cela ne semblait pas suffire. Il s'approcha donc d'elle, dans l'intention de lui rendre ce service.
Il la saississa légèrement par la taille avec délicatesse, avant de la soulever assez du sol pour qu'elle puisse atteindre les hautes étagères de son armoire...

Je n'ai rien contre un surnom, mais cela vas m'obliger à t'en trouver un alors... Tu en as un que tu préfère ?

La jeune fille n'avait pas semblé avoir entendu le bruit du verre brisé. Elle n'avait pas fait attention à comment elle l'avait fait tombé et avec quel violence aussi. Mais elle ne semblait pas trop s'en soucier, elle ne savait même pas pourquoi elle avait un cadre vide. Surement qu'elle se serait mise à rigoler toute seule si elle n'était pas aussi fatiguée. Pour l'instant, elle se concentrait sur son étirement pour ranger ses affaires dans cet étage qui était trop haut pour elle. Lorsqu'elle voulut alors abandonné, elle senti, ce qui devait être les mains de Siegfried, la soulever. Elle regarda alors Sei', vue du haut, un moment il fallait dire, avant qu'elle ne pose ses affaires dans cette case.

"Il faudra que je m'achète un petit tabouret, car tu ne seras pas tout le temps là pour me porter." dit elle en lui faisant un p'tit clin d'oeil.

Ou arrivait elle à trouver encore de l'énergie? Elle se posait elle même la question. Peut être parce qu'il y avait Sei', de la compagnie, elle ne pouvait dormir s'il y avait quelqu'un. Elle répondit alors à sa question concernant sont surnom.

"Benn...Tout le monde m'appelle Mel', mais si t'en trouve un autre..." dit elle simplement avec un petit sourire, ayant revenue les pieds sur terre, elle était à présent nez à nez avec Siegfried. Un rien les séparait.

Pendant que Siegfried portait Mélina, cette dernière lui raconta qu'elle devrait s'acheter un tabouret un jour, prenant pour prétexte que Siegfried ne serait peut être toujours pas là pour la soulever comme ce soir... Le jeune irlandais ria avec légèreté...

Cela peut toujours s'arranger Mélina, il te suffirait d'un appel pour que j'arrive aussitôt...

Siegfried avait toujours été comme ca, à être présent pour ses amies, quelque soit les situations, qu'elles soient d'une extrème importance ou pour une simple tache de tout les jours... Elle répondit ensuite à sa question du surnom, lui disant qu'on l'appellait souvent Mel', mais qu'elle ne refuserait pas que Siegfried lui en donne un autre...
Mais voila que le jeune homme et la jeune demoiselle étaient maintenant face à face, leur deux corps se frolant à peine; et de par cette position, faisait quelque peu monter les ardeurs du jeune irlandais. Il savait parfaitement qu'il avait déja une amie qu'il appréciait plus que tout, mais son instinct l'avait toujours pousser à chercher le contact charnel... Il ne savait donc pas vraiment quoi faire, hésitant entre aller prendre une douche froide pour se réveiller; ou bien rester ici en compagnie de Mélina...

Je crois que je vais y aller Mel'...

Malgrés ses dernières paroles envers elle, il la tenait toujours par la taille, ne semblant rien faire pour l'attirer à lui ou la repousser au contraire. Son esprit était actif, mais son corps refusait de lui répondre... Sans savoir pourquoi, il avait envie de coller ses lèvres contre celles de la demoiselle qu'il avait entre ses bras...

Leur deux corps étaient presque collés l'un à l'autre, se frôlant et se touchant à peine. Pourtant, Mélina ne semblait guère bouger, fixant les yeux du jeune homme posté devant elle. Elle sentait toujours les mains de Siegfried sur sa taille. Que pensait il en cet instant? C'était une question que se posait maintenant Mélina. Et Sei n'avait pas l'air de vouloir la lacher.

Cela ne lui posait pas de problème non. Elle n'avait pas de copain et cet homme l'attirait. Et lorsqu'elle trouvait un homme attirant, elle ne pouvait s'empêcher de le draguer, sauf que là, il y avait un hic. Pourquoi donc restait il immobile comme cela? Elle ne put réfléchir davantage, il avait parlé. Elle sourit donc puis ajouta

"Pour cela, il faudrait que j'ai ton numéro...Sei..." dit elle simplement en le regardant dans les yeux, se rapprochant un peu plus de lui.

Elle s'apprêtait à se coller à lui, et à même vouloir l'embrasser lorsque sa phrase la stopa net dans son action qu'elle voulait entreprendre. Décidemment, il s'entêtait. Elle se recula un peu, puis ajouta, son regard poser bizarrement sur le cadre couché.

"Je ne vais pas te retenir...Moi même je tombe de sommeil." ajouta t'elle, sans aucun sourire et d'un ton neutre. Elle semblait avoir totalement changée. Son instabilité surement. Sauf que Sei ne pouvait pas savoir, ils se connaissaient à peine...

Ce fut donc elle qui recula légèrement la première, soulageant à la fois Siegfried de ne pas avoir eu à le faire lui même, et faisant hurler son corps qui réclamait la chaleur de Mélina... Il était partagé entre ces deux sentiments mitigés... Entre la raison et l'envie, il ne savait pas où se trouvait sa place...
Il attira donc Mélina à lui, puis lui déposa un baiser éphémère sur les lèvres, avant de se pencher à son oreille...

La musique est ma signature, la solitude est ma vie, les poèmes sont mes mots, les requiems sont mon devenir...
Si tu souhaite me revoir, alors je saurais te retrouver...

Il lui déposa ensuite un second baiser un peu plus long, avant de la lacher complètement tout en délicatesse, au bord de ses limites personnelles. Un peu plus et il aurait cédé, ce qu'il se refusait intérieurement à faire, craignant de la forcer, alors qu'il se connaissaient à peine...
Il se dirigea ensuite vers la pièce principale, essayant d'éviter le regard de Mel' dans lequel il craignait de se perdre en cette soirée. Le jeune homme récupéra l'étui de son violon, avant d'ouvrir la porte...

Bonne nuit, princesse nocturne...

Alors que Mélina se demandait vraiment ce que voulait ou souhaitait Siegfried en cet instant, elle semblait être attiré par ce cadre qu'elle avait laissé. Si elle avait connu ses parents, surement ne serait elle pas ici, en face d'un homme qui l'attirait, et qu'elle avait subitement rejeté rien qu'à cause d'une seule et unique phrase qu'il avait dit. Elle abandonnait vite? Non...c'était juste son état d'âme qui était comme ça. Son caractère n'était pas comme les autres, elle n'était pas comme les autres...

Elle s'apprêtait à sortir des bras de Sei, elle se sentit tirer vers lui et ses lèvres touchèrent les siennes. Mélina se laissa faire, savourant avec plaisir son baiser qui avait durée une fraction de seconde. Elle écouta alors ses sublimes mots qu'il lui lançait à son oreille. Qu'attendait il d'elle au juste? Si elle voulait le voir, alors il viendrait? C'était pas un peu paradoxal ça?

Elle ne put réfléchir davantage, qu'il se remit à l'embrasser. Elle ne put, bien naturellement, refuser. Avant qu'il ne parte. Mélina resta alors immobile devant la penderie. Ses pensées étaient bien bousculées, mais...

Elle se précipita à l'entrée de sa chambre pour s'arrêter dans l'encadrement, assez pour voir Siegfried qui partait. Ses mots alors lui échapèrent.

"Je veux te voir, alors viens me retrouver..."

Elle faisait référence à ce qu'il avait dit. Elle voulait le voir, alors pourquoi il partait après ce qu'il avait laissé sur ses lèvres ? Un goût qu'elle appréciait. Elle voulait goûter aussi à l'amour de Siegfried, ne souhaitant que ça pour ne serait-ce, la consoler... Il y avait que très peu de chance qu'il revienne...mais au moins, elle aurait essayée...

Elle l'appellait, alors qu'il était si proche des limites que son coeur pouvait endurer, si proches des limites qu'il essayait de ne pas franchir les premières, si proche du point de rupture... Sans qu'il ne puise vraiment se retenir, il posa donc à nouveau son étui à terre, refermant la porte sans l'avoir frachie, avant de la fermer à clé aprés avoir ramasé les clés sur la table de la pièce... Laissant ces dernières sur la serrure, il revint alors vers Mélina, l'attirant à lui pour la serrer en la prenant dans ses bras... Il se pencha à son oreille...

J'ai entendu ta voix à travers les ténèbres...
Alors me voici...

Il la tenait dans ses bras, sentant sa chaleur contre sa peau, sentant ses cheveux sous ses mains... Il le tenait contre lui, sentant cette chaleur monter à lui, cette chaleur qu'il avait si souvent chercher, tout en voulant souvent la refouler... Il en avait à la fois envie, mais ne voulait pas la forcer même si elle aussi le voulait...
Il lui offrit un nouveau baiser...

Juste une phrase. Une toute petite phrase qui avait circulé dans l'air et parvenut aux oreilles de Siegfried. Cela avait suffit à ce qu'il reste. POurquoi? Pourquoi il décidait de rester, et pourquoi Mélina l'avait appelé? Ils ne se connaissaient même pas, alors pourquoi cet amour qu'elle voulait tant avoir ? Egoïste, elle l'était, c'était sur, et c'était toujours à ce niveau. Elle le suivit du regard, le regardant fermé la porte puis prendre ses propres clefs pour fermer celle ci. Son étui, il l'avait reposé à l'endroit même où il l'avait prit. Elle, néanmoins, resta à sa position, une main sur le mur, regardant avec une pointe de peine perdu, Sei, qui se dirigeait à présent vers elle.

Elle ne pouvait pas le rejeté en cet instant même. Il l'avait enlacé, lui chuchotant encore des mots qui s'envolèrent. Pourquoi s'efforçait il a parler, alors qu'il n'y avait pas de mot pour définir cet instant. Ou peut être que lui savait définir ses sentiments, mais pas elle, pas Mélina. Elle s'efforça de ne pas pleurer. Elle sentait à présent la chaleur du corps de Siegfried. Un frisson la parcoura alors, puis ses mains enlacèrent Sei' et elle se blottit contre lui, savourant encore un baiser qu'il lui donnait. Elle mit alors son visage sur son tee shirt, sa tête étant en dessous du menton du jeune homme. Elle voulait se souvenir de son odeur, de sa chaleur, de son baiser...parce que peut être que demain, tout ça aurait disparut...

Ils étaient désormais tout enlacés, dans un silence qui ne demandait pas de mots, bien que Siegfried en retenait des nombreux qu'il aurait aimé lui sursurer à l'oreille pour la réconforter ou bien la rassurer, ou même afin de pouvoir la conserver auprés de lui le plus longtemps qu'il le pouvait...
Il ne voulait pas briser cette étreinte pour le moment, bien que son corps en demandait plus. Tout ce qu'il voulait pour le moment, c'était sentir la peau de Mélina contre la sienne, et rien d'autre. Le plaisir charnel pouvait certe augmenter la surface des deux peaux en contact, mais Siegfried ne dit rien, se contentant de serrer la demoiselle contre lui, contre son coeur qu'elle devait certainement entendre battre à grand rythme...
D'une de ces mains, il la tenait par la taille, tandis que l'autre passait dans ses cheveux sans qu'il ne sache vraiment pourquoi; un peu comme guidé par un instinct, il ne savait pas pourquoi il le faisait, il ne suivait que son coeur...
Si cela suffisait à combler Mélina pour le moment, alors il en était heureux...

Son oreille était collée sur le torse du jeune homme, juste à l'endroit où son coeur battait. Et elle pouvait l'entendre battre à tout rompre. Elle eut un sourire, il n'y avait donc pas que le sien qui battait à cette hallure là. Elle était heureuse, mais le cachait encore, bien que Siegfried pouvait peut être ressentir ce qu'elle éprouvait en cet instant. Elle aimait le sentir près d'elle. Mais pourquoi un homme qu'elle ne connaissait que de très peu de temps l'attirait comme cela? Peut être dû à cause de l'amour qu'elle n'a jamais eut? Et qu'elle voulait à présent en avoir comme pour combler toutes ses années passées seule. Comprendrait il tout ce qu'elle avait endurée sans même qu'elle ne lui parle? Etait il comme ça? Elle ne savait plus trop, et ses pensées n'étaient plus visé sur ce sujet. Elle voulait regoûter à ses lèvres, et sentir sa peau chaude contre elle. Elle glissa alors ses mains sous le tee shirt du jeune homme, les remontant dans le dos. Elle releva la tête puis lui déposa un doux baiser, sentant sous ses paumes de mains, la chaleur du corps de Siegfried.

Elle entrouvit alors la bouche, pour essayer de faire pénétrer sa langue dans la bouche du jeune homme et ne faire qu'un avec sa langue. Elle voulait le garder pour lui, ne serait que pour cette nuit, car elle doutait fortement d'une seule et unique chose, qu'elle voulait garder pour elle. Maintenant, il ne fallait plus qu'elle pense à tout ça. Elle carressait le dos du jeune homme, tout en lui faisant goûter au plaisir d'un baiser langoureux.

Sentir les mains chaudes de Mélina dans son dos frit naître un léger frisson dans la colonne vertébrale de Siegfried, ce dernier parcourant alors son dos de bas en haut, le faisant frémir d'une légère brise de plaisir...
Puis lorqu'elle l'embrassa à nouveau, en voulant méler leur langues en un baiser passionné, le jeune homme fut alors sortit de ses derniers retranchement émotionnels pas Mélina; il lui accorda donc ce baiser partagé, le lui rendant avec autant d'ardeur qu'elle le lui en donnait...
Ses mains commencèrent alors à glisser sur le corps de sa partenaire, passant également sous les vétments de celle ci, comme les siennes s'étaient glisées sous ceux de Siegfried. Le jeune irlandais fit donc remonter une main dans son dos, tandis que l'autre la tenait par la taille, mais sous ses vétements ce coup ci...
Actuellement, il avait envie d'aller plus loin avec elle en cette soirée; et il commencait donc à reculer avec délicatesse dans la chambre, pour la diriger vers le lit de cette dernière; puisqu'ils étaient encore tout deux dans l'encadrement entre la pièce principale et celle réservée à Mélina...
Il espérait juste qu'elle ne verrait pas Siegfried comme une personne ne pensant qu'à cela; puisque de toute facon, il s'arréterait aussitôt si elle venait à en émettre la demande...

Siegfried ne recula pas devant le baiser que voulais lui donner Mélina. Il semblait mettre autant du sien que le faisait Mélina. C'était un baiser passionnel, tout les sentiments étaient confondus dans ce baiser. Mélina ne savait pas trop ce qu'elle faisait, ou plutôt elle ne réfléchissait plus, étant si bien en présence de Sei. Elle ne voulait plus le lacher, et n'arrêtait pas ses caresses dans le dos du jeune homme, remontant ses mains haut dans son dos, emmenant son tee shirt au passage.

Elle sentit alors un frisson l'envahir lorsque Siegfried remonta sa main dans son dos. Elle s'était écarté de ses lèvres, mais voulait encore les goûter. Etait elle égoïse? En cet instant, surement. Il l'emmena alors, reculant dans la chambre. Mélina ne montra aucun signe de refus, l'entrainant elle aussi vers son lit maintenant. Ils étaient maintenant tout proche de celui ci, il y avait encore la valise sur son lit, qui surement, tomberait par terre une fois qu'ils seraient sur le lit. Il n'y avait pratiquement plus rien dedans, alors sa ne la gênait pas de la pousser pour avoir plus de place. Elle le ferait en tant voulut. Elle reposa ses lèvres sur celle de Sei, n'étant pas satisfaite de deux ou trois baisers, elle en voulait plus. Elle posa alors ses lèvres délicatement sur celle de Sei, pour lui donner un doux baiser, une de ses mains descendant vers le bas du dos, avant de s'engouffrer sous le pantalon, puis sous son caleçon.

Les mains de Mélina continuaient de glisser dans le dos de Siegfried , donnant des frissons de plaisir de plus en plus nombreux au fur et à mesure de ses passages multiples... Le haut de Siegfried remontant sur son corps et fur et à mesure de ces caresses intimes...
Ils se rapprochaient maintenant du lit de la demoiselle, ce dernier portant encore la valise de Mélina... Elle lui offrit alors un nouveau baiser de douceur, que Siegfried lui rendait toujours avec autant de passion qu'il en recevait si ce n'était plus... Il sentit alors une des mains de Mélina commencer à descendre dans son dos, avant de glisser sous son bas puis ses sous-vétements...
Siegfried posa un nouveau baiser sur les lèvres de sa partenaire, avant de lui sourire tendrement en posant sa main sur la sienne. Il la retira alors de là où elle était avant de reculer légèrement pour lever totalement son haut, se mettant ainsi torse nu...
Il s'asseya alors sur le lit de Mélina, aprés avoir prit la valise pour la poser à coté du lit. Il se retourna alors vers la demoiselle, un sourire à la fois charmant et coquin sur les lèvres, lui tendant une main l'invitant à le rejoindre sur le lit...
Pour continuer leur jeu charnel...

Bien que la jeune fille avant une main sous le caleçon du jeune homme, l'autre continuait ses imperpétuels caresses, qui étaient aussi douce les unes que les autres. Jouant un peu sur le bout des doigts pour le faire frissonner, avant de reprendre une caresse plus intime. Siegfried lui donna un nouveau baiser, aussi doux que les autres, qu'elle savoura avec plaisir.
Siegfried enleva alors sa main de là où elle était, pour se reculer. Elle le laissa faire, remarquant qu'il se mettait torse nu. Elle ne put s'empêcher de se mordre légèrement la lèvre inférieur. Il était encore plus craquant comme ça, déjà qu'elle le trouvait charmant voire mignon, tout simplement. Il retira la valise, qu'elle aurait fait de toute manière mais avec un peu plus de violence surement et plus de bruit.
Il se placa ensuite assit sur le bord du lit. Elle lui rendit bien évidement son sourire charmeur et coquin à la fois. Elle s'approcha alors de lui, lentement, ne voulant pas retirer son haut tout de suite, gardant le plaisir pour Siegfried de la déshabiller.

Siegfried souria légèrement lorsqu'il vit Mélina se mordre la lèvre inférieur, elle semblait observer le corps du jeune homme avec envie et un regard pétillant, ce dernier de refletant sur les pupilles argentées de Siegfried. Lorsqu'elle vint à lui en se rapprochant doucement, Siegfried l'attrappa par la taille, avant de l'attirer à lui... S'allongeant sur le lit, tout en amenant Mélina à venir sur lui... Il lui déposa alors un nouveau baiser de tendresse, faisant alors à nouveau glisser ses mains sur le corps de sa partenaire...
Une de ses mains continua de passer dans le dos de Mélina, faisant remonter son haut comme elle l'avait fait tout à l'heure avec lui; tandis que le seconde se glissait dans le bas du dos, commencant à se glisser sous les vétements de sa partenaire...
Il ne voulait pas encore lever ses vétements, ne sachant pas encore si elle voulait le faire elle même, ou invitait Siegfried à le faire lui même... Puis il voulait de toute façon faire durer le plaisir le plus longtemps possible entre eux deux...
Cette nuit était la leur, ils se devaient d'en profiter...

Mélina était très heureuse d'être avec lui aujourd'hui, ce soir, bien qu'elle ne le fasse pas savoir ni paraitre. C'était bizarre, elle n'arrivait pas à faire parvenir ses sentiments. Elle avait toujours été comme ça. C'était peut être pour cela qu'elle n'avait jamais vraiment été aimée. Remarque, elle avait eut toujours de la chance pour s'en sortir dans des situations difficiles ou lorsque sa propre vie était en danger. Mais à l'inverse, elle était obligé de vivre sans amour, ou plutôt avait été obligé de vivre sans amour de personne. C'était pourquoi, dès qu'elle trouvait un homme charmant, qui savait la charmé, elle tombait dans ses bras. Comme d'autre fois, où elle pourrait très bien le rejeter. Elle s'était endurcit soit, mais son fort intérieur était quand même très sensible. Mais comme elle ne laissait rien paraitre, sauf peut être parfois une petite et légère expression qui la trahissait. Mise à part cela, rien d'autre.

Elle se fit alors entrainer sur Siegfried, la prenant par la taille pour l'emmener avec lui. Elle était à présent sur lui et un autre baiser vint se poser sur ses lèvres, tendrement. Elle mit alors ses deux bras qui vinrent enrouler le cou du jeune homme. Une de ses mains jouant avec une mèche de cheveux, la tortillant sur et autour de ses doigts. Elle frissonnait à chaque caresses qu'il lui faisait, c'est à dire, à peu près tout le temps. Elle mit ses jambes entre celle de Siegfried, elle ne voulait plus se séparer de lui à présent, maintenant qu'ils avaient commencés, ils se devaient de finir. Cette nuit allait s'annoncer la leur, à elle tant qu'à lui, ayant autant de plaisir l'un à l'autre. Du moins, elle l'espérait. Elle reposa ses lèvres sur celle de Sei, puis lui donna un baiser langoureux, qu'elle ne pouvait retenir.

Siegfried déposa un donna un nouveau de ses baisers à Mélina lorsqu'elle passa ses mains autour, enlacant donc désormais les deux corps par cette action, mais interdisant alors à Siegfried la possibilité de lui enlever son haut, lui qui ne voulait pas défaire cette étreinte charnelle...
La main de Siegfried qui était sous le pantalon de Mélina, resta au niveau de la ceinture, le jeune homme attendant comme une invitation de sa partenaire plutôt qu'aller plus loin sans son autorisation... Sa main droite continuant à parcourir le dos de Mélina qu'il couvrait de caresse, il se dit alors qu'il devrait penser à lever la bague qu'il portait au majeur, le métal froid n'étant pas vraiment trés agréable pour la peau pour certains... Il se promit de la poser dés que possible...
Mélina glissa alors ses jambes entre celles de Siegfried, comme pour lui dire que maintenant que la nuit avait commencée de cette manière, ils leur était désormais impossible à revenir en arrière sans aller jusqu'au bout. Il accepta donc son baiser, scellant à nouveau ainsi leur deux langues en un baiser de passion...

Le jeune homme n'était pas vraiment le genre de personne à aimer prendre les désicions avec ses partenaires, il préférait toujours qu'elle puise agir à leur guise si jamais elles voulaient avoir le contrôle, et ne dirigeait donc l'acte que si sa partenaire le lui autorisait ou le lui demandait... Il répondait donc avec ardeur aux baisers de Mélina, tout en suivant ses envies...

[hj: biiip, je répond quoi moi à ça? Tu peux pas me faire des posts plus dur ? xD rhaaaa u_u ]

Ils étaient à présent collé l'un à l'autre. Mélina ne voulait pas parler, ni faire de geste qui pourrait aller à l'encontre de cette soirée, de cet instant de pur bonheur pour les deux jeunes gens. Elle sentait toujours la main de Siegfried sous son pantalon, sans pour autant qu'il la bouge, elle restait immobile. Avait-il peur qu'elle le rejete? Ou n'osait-il pas pousser trop loin avant que Mélina ne donne son accord? Mais ne l'avait elle pas déjà donné? N'entendait il pas son coeur parler? Elle décida alors de se relever, il fallait qu'elle fasse avancer les choses, sinon, il n'oserait pas aller plus loin. Elle se mit à genoux, entre les jambes de Siegfried, et retira son haut doucement pour le mettre poser sur le lit, à côté d'eux, faisant découvrir sa poitrine munie d'un soutien gorge noir à dentelle. Elle prit ses appuie sur ses mains, se mettant à quatres pattes, pour se hisser vers Siegfried et l'enrouler encore de ses bras pour venir s'amuser encore avec ses cheveux. Elle sentait à présent la peau chaude du corps de Sei sur son ventre et sur sa poitrine. Elle lui remit un de ses baisers langoureux, jouant encore avec sa langue.

[Ben je peux pas deviner ce que tu porte moi...]

Lorsque Mélina se leva, Siegfried relacha ses mains de leurs positions; observant alors sa partenaire enlever elle aussi son haut, révélant un soutient-gorge noir en dentelle, faisant égalemet s'afficher un sourire coquin sur les lèvres du jeune homme. Ce dernier répondit donc à nouveau à sa partenaires lorsque les langues jouèrent de nouveau ensemble, enlacant à nouveau sa partenaire de ses deux bras... Lorsque leur baiser s'acheva, Siegfried lui en déposa un nouveau sur les lèvres, avant d'en poser un autre sur sa poitrine charmante; pendant que sa main commencait à remonter dans le dos de Mélina, à la recherche des attaches du soutien-gorge, que le jeune homme envisageait de lui enlever désormais...
Le jeu nocturne venait de franchir un niveau entre les amants, même s'ils n'en étaient encore qu'aux préliminaires, ils ne tarderaient pas à arriver à l'acte en lui même. La chaleur en Siegfried commencant à prendre de plus en plus d'ampleur en lui, partant des deux peaux en contact pour rejoindre son coeur...
Pendant ce temps, sa seconde main commencait à descendre plus bas, dans le but d'enlever le bas de sa partenaire; Siegfried passant dans un rôle un peu plus "dominateur", bien qu'il comptait également laisser ce plaisir à Mélina...